Des études récentes viennent de prouver l'influence de la tendresse maternelle sur le développement des gênes des bébés. L'affection transmise au travers des câlins de la maman sur son enfant avant son sevrage, entrainerait, ainsi, une modification de la structure ADN des cellules cérébrales du bambin. L'effet direct, est la diminution du nombre de gênes parasites qui ne se multiplieraient plus plusieurs fois sur les brins d'ADN. Un surplus de gênes pourraient provoquer l'apparition de maladies telles que la schIzophrénie et la dépression. Voici, une preuve supplémentaire que l'être humain est profondément conditionné par son enfance, ce que l'on savait déjà, mais qui pose question au vu de l'effritement de l'instinct maternel mis à mal dans nos Sociétés dite modernes. Des études faites sur les adultes prouveraient certainement que les câlins, vecteurs de l'affection, sont aussi nécessaires tout le long de notre vie. Il suffirait de laisser, dans nos codes sociétaux, une plus grande place à nos ressentis si souvent malmenés. Enfin une cause fédératrice, , "Vive les câlins" !