Le gouvernement allemand vient de prendre des décisions pour encadrer la campagne d'achat des fleurons de l'industrie germanique par des groupes chinois. Il doit être possible de réguler ces investissements "rapaces" soutenus par des subventions d'états alors que la réciprocité n'existe pas, limitée par des seuils d'actionnariat ou par des transferts technologiques limités. Il est vrai qu'au pays du dragon on ne s'embarrasse guère des arguties européennes. Cette impression d'être démuni et devenir les dindons blanc (à défaut des oies) de la farce économique mondiale est un sentiment frustrant à l'aulne de l'incapacité de nos politiques à se mettre en ordre de bataille pour réagir salutairement afin d'être en phase avec l'accélération de notre monde dit "moderne" !