Nous savons que nos responsables politiques ont du mal avec la langue de Shakespeare et la mésinterpréttion du mot Brexit en est un exemple. Maintenant que la décision britannique a été validée, la mise en place d'actions marketing pour attirer les banques et autres groupes londoniens devrait être vigoureuse...Loin s'en faut, pendant que les places financiéres de Frankfort, Luxembourg, Berlin ou Dublin se déménent, nos édiles eux parcourent nos campagnes emberlifocotés dans leurs débats nombrilistes pré-électoraux. Le pragmatisme politique a peu de place face aux idéologies des partis gouvernementaux qui envisagent difficilement de courtiser le monde de l'argent. Dommage une fois de plus nous allons louper une belle opportunité, celle de greffer, à Paris, une partie de la place financiére londonienne avec ses services, sas activités, et son million d'emplois à haut revenus le tout engendrant un chiffres d'affaires de plusieurs milliards d'euros. C'est notre petit Franxit à nous qui doit, dans le monde financier, en faire sourire plus d'un...