Bonjour lecteur (-trice) curieux (-se) et égaré(-ée) dans le flot continu des pages publiées chaque seconde de notre vie d'internaute.

Juste un petit message, histoire de se rendre compte qu' il est plus qu'intéressant de jeter un coup d'oeil dans le rétroviseur, après ces quelques années de léthargie...

Une épidémie d'un virus d'origine incertaine et une guerre tout aussi improbable, plus tard n'ont pas franchement amélioré nos vies.

Tout cela couvert par des médias de moins en moins objectifs et une communication des gouvernements déconnectée de ses populations amènent à une réflexion toute personnelle: prendre du recul devient une raison de salubrité personnelle !

Choisir ses sources et canaux d'informations est hautement nécessaire pour garder sa faculté d'analyse et éviter les pièges arachnéens des mal-intentionnés de toute origine.

Nous pouvons seulement pressentir ce système coercitif qui se met en place aux mauvais endroits car la crainte d'être mal perçu par les communauté de tous ordres empêche nos édiles de gérer correctement toutes les formes d'anarchisme qui réapparaissent quand une Société se fragilise.

Sous prétexte de faire des économies les référendums n'ont plus lieu d'être...

Nous voici donc réduit à un rôle de spectateur, telles les vaches regardant passer les trains...sans compter les périodes de traites.

Le fait de ne plus être vraiment maître de notre destin via la communauté internationale et le pouvoir incommensurable des lobbies est un sentiment vertigineux.

Il ne nous reste que la solution de cultiver son jardin et profiter de son chez soi, du temps que l'administration impécunieuse de nous le grignote pas complétement.

L'Histoire est douée, comme tous les grands systèmes qui régissent l'Univers, d'un mouvement cyclique...le tout est de savoir à quel endroit nous nous trouvons?

Les strates de la Société se délitent, et chacun (e) évolue naturellement dans celle qui le (la) concerne, dommage que des tendances antagonistes y soient régulièrement injectées sous de bons prétextes, exacerbés par les caisses de résonance du Web.

Allons suivons les anciens qui avaient déjà fait le tour de la question:

"Carpe diem ad vitam aeternam" !