Il va sans dire que la montagne a énormément de vertues par rapport à la ville. La principale est le rapport de l'homme à la Nature. Cette relation fait que les gens de la montagne sont emprunt de cette humilité naturelle base du bon équilibre des personnes. Cette réserve des habitants de ces régions nécessite un temps pour la reconnaitre et apprendre à la découvrir pour mieux l'apprécier. Cette particularité se retrouve également chez les marins. Comment ne pas trouver sa juste place face à la puissance et à la beauté de tels environnements ? Bien sûr, cela ne justifie pas ces airs présomptueux des citadins obligés de s'inventer leur histoire faute de repéres fondateurs de leur identité. Par oposition, les gens de la montagne se sentent dés le réveil en osmose avec leurs racines face au spectacle lumineux qu'ils découvrent simplement en ouvrant leurs volets. Comment peut-il en être autrement ? Sans doute qu'il faudrait prévoir un module éducatif dans les parcours scolaires des villes pour rappeler quelques valeurs fondamentales aux futurs citadins déracinés...