Un fait ressort entre tous dans les études détaillant le fonctionnement de notre sacro-sainte Société Nationale des Chemins de fer Français....la gestion démagogique des gouvernements successifs ! Bien sûr, le personnel bénéficient de conditions naturellement plus qu'avantageuses à l'époque actuelle. Bien sûr, et c'est humain que les cheminots et leurs syndicats sont plus concernés par la gestion de leur statut que par l'incitation à la reconnaissance du travail. Bien sûr, que les chiffres parlent d'eux-mêmes et que toute entité économique mal gérée "va dans le mur". Mais en fait la S.N.C.F. reste un révélateur des politiques clientéliste "à la française" et des gouvernants qui ne peuvent s'empêcher d'avoir des "danseuses" ( exemple du tout T.G.V.). En y regardant de plus près, l'auto-gestion des grands corps d'Etat gérée par nos célébres énarques est soumis aux mêmes principes. Ainsi, celui du "pantouflage" qui leur permet de faire des aller-retours entre le public et le privé pour faire fructifier leur carnet d'adresses et faire profiter leurs clients des failles de notre administration. Sans compter le "parachutage" dans les institutions culturelles d'anciens commis d'Etat sans perte de salaires qui de ce fait crée une nouvelle dérive financière. L'Administration est nécessaire mais elle se doit d'être à son tour régulée pour le bien commun. L'implacable logique économique du marché est bien réelle et il sera toujours inéluctable que l'avenir du pays dépendra de la bonne façon de corriger les choix laxistes du passé. Vivons nous dans le rêve ou dans la réalité ?