Il est inconcevable, sous prétexte de vieux combats sociaux-culturels, d'utiliser sa fonction pour tenter d'éradiquer l'enseignement des langues mortes sous prétexte d'élitisme ( plus de syntaxe, rhétorique, étymologie, mythologie, philosophie, etc..). On peut rêver d'imaginer qu'un bilan de compétences soit instauré avant la nomination des ministres afin d'éviter ces règlements de compte d'un autre âge issus de combats sociétaux du passé ! La mutation automatique à un autre poste ne pourrait-elle pas être également caduque dans le cas de manquement ou d'incompétence dans la fonction précédente ? Pourquoi se poser des questions quand on est indéboulonnable en tant que haut-fonctionnaire? En attendant le nouveau ministre de l'Education a "du pain sur le planche" pour remettre d'aplomb l'enseignement suite à toutes ces errances de passés personnels mal assumés. Chaque gouvernement veut modifier l'enseignement tel un outil politique donnant lieu à des refontes permanentes des manuels scolaires pour réécrire l'Histoire "à la sauce" des édiles en place. Parions qu'un jour il sera possible de créer un enseignement objectif établi sur le long terme afin de bien former les nouvelles générations. L'enseignement 'à la française" n'a cessé d'être détricoté par des politiciennes ou politiciens revanchards. Les jeunes n'ont que faire de ces vieux règlements de compte, ils sont bien tournés vers le futur...eux !