La puissance hégémonique de ces grands groupes tirant leurs richesses des marchés qui découlent d'internet implique des questions d'ordre fiscal voire morale. L'Europe permet à ces groupes (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) d'augmenter considérablement leur croissance en leur laissant la possibilité, grâce à une "optimisation fiscale" légale,de ne payer que 10% des impôts normalement dus aux gouvernements. Qui va donc contribuer à compenser cette perte de rentrées fiscales ...une fois de plus le dernier maillon qui ne n'a pas les armes pour se défendre: le vulgaris pecum ! Non content de biaiser les débats publiques (cf. Les dernières élections), d' "assécher" la presse et ses marchés publicitaires, ils vampirisent nos finances publiques et mettent, de ce fait, à mal notre système social. Il y a moyen de recouper les données de leurs revenus répartis dans les différents paradis fiscaux avec leurs profits croissants pour que chaque pays contribuant à leurs succès puissent recueillir la part de contribution lui revenant. Mais d'ici la fin des conciliabules, commissions, rapports, et études de tous ordres, ces GAFAM auront eu le loisir d'exploiter des nouvelles failles laissées par nos éminents spécialistes européens! Et pendant ces précieux atermoiements générationnels le citoyen "casque"!