Insidieusement la mise en place d'identification par fréquence radio (RFID) s'immisce dans notre quotidien. Cette technique est bien adaptée à la gestion des produits (stockage, distribution, référencement, fraude) par le biais des puces emmagasinant beaucoup plus d'informations que des codes barres. Elle est également utilisée pour la gestion des arbres, des véhicules et du mobilier urbain. Un souci est l'adaptation à l'humain car il semble inévitable que la traçabilité reste plus qu'une tentation pour optimiser le travail, déjà que certains n'hésitent pas à innoculer sous la peau des micro-puces, pour la médecine d'accord mais espérons qu'elles ne seront jamais utilisées dans un but de traçabilité. L'usage de ce procédé pour les moyens de paiement est déjà en place mais ne faudrait-il pas protéger le transfert des données avant de développer un tel usage? Le principe d'utiliser des produits ou procédures avant qu'ils soient vérifiés et validés a déjà pourtant prouvé la dangerosité de la chose...