Le traitement galopant par les médias des évênements "à chaud" supprime le temps de l'analyse de la véracité des faits. Les personnes starisée ayant eu en leur temps les projecteurs braqués sur leur nombril n'ont plus, lorsqu'elles sont délaissées, comme seul mode d'existence pour pérenniser l'image fabriquée de leur "modeste" personne que le truchement de leurs frasques fabriquées tel un nouveau fait héroique moderne, appellé communément le buzz. C'est le fond de commerce de la presse dite "à sensations" mais est-il raisonnable de relayer en boucle ces "pauvres" comportements psychotiques dans les grands supports nationaux ? L'écho de ces caisses de résonnance reste parfois bien trop assourdissant...jusqu'à nous faire croire que cela puisse impacter notre balance économique touristique. Ce n'est sans aucun doute pas le bon bout de la lorgnette !