La gestion de nos parcs et forêts est, désormais,régie par des "nouvelles grandes règles" qui auraient bien plu à Jean-Jacques Rousseau laissant la Nature à son autogestion. On redécouvre son pouvoir de régénération en la laissant dans son état naturel. C'est un fait qu'avec le peu d'effectif c'est plus simple. Mais quelle désolation d'observer ces forêts délaissées. Le lierre n'est plus considéré comme un parasite (qui n'a jamais constaté qu'il se nourrit sur son support et qui du fait de son poids brisent les arbres qu'il a amoindri ). Après il est nécessaire de couper l'arbre en laissant toute la coupe sur place pour suivre ces nouveaux préceptes... Même les parcs publics deviennent des pépinières à lierre comme si on voulait se donner l'impression qu'il est possible de gommer la présence de l'Homme ! Cela pourrait permettre, aussi, la création de nouveaux chantiers pour les jeunes... D'un autre côté dés qu'un vénérable arbre penche un peu on le coupe s'en sourciller pour cause de sécurité ou s'il est attaqué par un nuisible on le coupe de suite sans lui laisser une chance en le traitant patiemment. Triste gestion !