Notre pays va subir encore une semaine la vague de chaleur installée depuis plusieurs jours. Cette mésaventure météorologique modifie notre environnement de façon étonnante jusqu'à asséché les cours d'eau tel que le Doubs sans parler des incendies de forêts à l'étranger, de la Californie jusqu'au Danemark au-delà du cercle polaire. Il est indéniable que ces phénomènes font partie d'un cycle de vie de notre bonne vieille boule de terre mais il est également incontestable que l'activité humaine amplifie ces conséquences. Les étendues de forêts coupées sur tous les continents pour une exploitation agricole intensive continuent d'augmenter de façon exponentielle, incapable que nous sommes de tirer les leçons du passé et d'instaurer des moratoires internationaux. Que dire de la décision d'un certain président qui dérégule les contraintes écologiques de son industrie automobile pour une histoire d'égo et saper les avançées de son prédécesseur d'un parti politique opposé ! Comment envisager des améliorations avec de telles inepties gouvernementales ? Quels pitoyables gâchis alors que nous sommes détenteurs des solutions, hélas submergées par le matérialisme et l'hégémonie des plus forts. Ce constat explique en partie ce courant consistant à vivre pleinement le présent à l'instar de certains peuples du passé qui se voyaient "aller droit dans le mur"...